vendredi 28 mars 2008

où tu iras j'irai

5 commentaires:

Anonyme a dit…

... ça pique les yeux, ça fait pleurer puis ça s'envole en fumée...

Anonyme a dit…

Opium, poison de rêve,
Fumée qui monte au ciel,
C'est toi qui nous élève
Au paradis artificiel.
je vois le doux visage
Les yeux de mon aimée,
Parfois j'ai son image
Dans un nuage de fumée.

Et le soir au port falot
Les lanternes qui se voilent
Semblent de petites étoiles
Qui scintillent tour à tour.
Et parfois dans leur extase
Au gré de la fumée grise,
Le fumeur se représente
Ses plus beaux rêves d'amour.

Lucile Gomez a dit…

Ouh bravo!! Nous sommes très forts en références musicales ! C'est bien, ça met une bande son sur mes dessins :)

Anonyme a dit…

Tiens, belle découverte de blog !

Je vais suivre tout cela avec plaisir ! (ah, la note sur les 24h de la bd me rappelle quelques bons souvenirs !)

Anonyme a dit…

c'est beau comme ça, le trait et le lavis, dis donc !